Jojolion tome 5

Ce tome a mis un peu moins de temps à nous parvenir que son prédécesseur, et c’est tant mieux.  Il contient les chapitre 19 à 22.

Image

Comme vous le voyez, on a le droit à un Sailor Jojo en bonne compagnie, celle de Daiya et Yasuho. Et encore une fois, son Stand, Soft & Wet, change de couleurs. Histoire de garder les bonnes habitudes.

Et comment s’appelle ce nouveau Stand qui apparaît là ? Et à qui appartient-il ? Ahah ! Surprise ! En fait, je ne sais pas. Enfin, je ne sais pas son nom, vu qu’il n’a pas été dévoilé lors de la prépublication. Heureusement, il arrive que les chapitres soient renommés lors du passage en volume relié ! Ce fut le cas dans le tome précédent, par exemple. Parfois on a même des Stands qui changent de noms. Ou alors il faut attendre les explications entre deux chapitres pour obtenir quelques renseignements.

Et c’est le cas ici, puisque ce nouveau Stand a le droit à une page bonus. Et donc, il se nomme Nut King Call. Un jeu de mot, plutôt subtil, avec Nat King Cole, dont la prononciation est quasi-similaire (surtout pour les japonais, apparemment). C’est un Stand dont j’aime bien l’allure, dommage que son manieur soit si… antipathique. Pour le moment. (J’ai encore de l’espoir après 25 chapitres dans lesquels il se montre plus qu’ennuyeux.)

A noter que, même si c’est sa première apparition en couverture, Nut King Call a déjà eu droit à une page couleur et donc, en tout logique, à une toute autre palette : des « yeux » oranges, une « peau » violette et des vis jaunes. Voilà déjà de quoi faire deux versions pour une future figurine chez Di Molto Bene…

En France, on va devoir attendre longtemps, encore quelques années. Je ne fais plus de pronostic, parce que Tonkam semble vouloir sortir Steel Ball Run mensuellement à partir de Janiver 2014. Pour combien de tomes, sur quelle durée et si cela sera vraiment appliqué, mystère. Après tout, la communication actuelle de Tonkam est surtout nébuleuse plus qu’efficace…

This is war

This is a call to arms
Gather soldiers
Time to go to war
beta
This is a battle song
Donyatsu and Kumacaron
Time to go to war
alpha
A warning to the Pastry Pets
The good and the evil

This is war
delta
To the Ronya, the Baumcougar
The Bagel, the Menchihuahua

This is war

This Is War

-Lyrics : a peu près Vox Populi & This Is War, 30 Seconds To Mars

Games of Darkness (7)

Chapitre 7 :
The millenium ennemy (Part 1)
 

« I want a pefect body
I want a perfect soul »
Creep,
Radiohead.

 Il faisait nuit. Le ciel entrecoupé de nuages épais laissait parfois voir une magnifique lune pâle et ronde. Un jeune homme aux cheveux longs et blancs se tenait devant le Game. Son uniforme de lycéen ouvert sur un T-shirt blanchâtre volait au vent. Dans sa main droite, il tenait un anneau doré qu’il portait par ailleurs comme un collier grâce à une anse et une cordelette. Un triangle avec un œil ouvragé était contenu dans le cercle de l’anneau et cinq cônes pointus pendaient mollement sous l’effet du vent. Cinq ? Non, quatre. Le dernier pointait à l’horizontal, droit en direction du magasin de jeux.

YGO-050 Enter Dark Bakura

– Kruuu, kruuu… ricana l’homme en crissant des dents comme une craie sur un tableau de classe. Il semblerait qu’un autre objet millénaire soit ici, à Domino… Voici une chance unique de m’en emparer !

*** Lire la suite Games of Darkness (7)

Marik made in Kotobukiya

Une fois n’est pas coutume, c’est grâce à @Poison_Lady que j’ai appris l’heureuse nouvelle du jour : Marik est, déjà, en précommande ! L’occasion d’examiner sous toutes les coutures le prototype peint.

Celui-ci sera disponible sous deux formes : topless ou pas. Deviner laquelle à la faveur des fangirls et fanboys n’est pas bien difficile. Hihi. °///°

Si sa main droite reste fermé d’une poigne de fer quoiqu’il se passe, avec ou sans son haut, en revanche, sa main gauche peut, au choix, tenir une carte de duel ou son Objet Millénaire, sa Hache fétiche avec laquelle il a manipulé tous les amis de Yûgi. Le Duel Disk peut se glisser sur ses bracelets dorés de son bras droit.

On remarque que, contrairement  à son double, il a un pantalon noir. Son haut à capuche sans manche est blanc. Totalement l’inverse, quoi.

Il a aussi un collier qu’il semble ne pas garder lorsqu’il enlève le haut.

Mais vous pensez bien que s’il dévoile son torse finement musclé, ce n’est pas juste pour qu’on se rince l’œil. Quelle idée ! Non, Marik cache un terrible secret, celui des Gardiens des Tombeaux auxquels sa famille appartient. Le tatouage gravé dans sa chair est le symbole de sa vengeance…

Marik sera disponible fin Mars pour la modique somme de 8000 yens (60€ au taux de change de ce jour). On ne sait pas encore s’il sera accompagné d’un petit bidule comme les autres. Surprise, surprise !