Et on continue le week-end special goodies avec le tant attendu Yami Marik, qui nous vient tous droit du Japon avec plein d’accessoires et de trucs à emboîter dans des trous. Morceau de phrase tendancieux à ne pas sortir de son contexte, merci.
Bon, ça commence bien, le mec, il arrive avec un sourire arrogant dans sa boîte en carton.

Ah ça, avec moi, ça va se passer comme ça. Non, on change d’attitude jeune homme et pour ce faire, on va étudier attentivement la notice qui indique comme démembrer Marik de bout en bout. Tête, mains, buste, tout peut y passer.

La preuve en image.
Ensuite, ce poseur fait sa star au milieu des strass et paillettes. Faut dire, c’est soit ça, soit il joue aux cartes pour dominer/détruire le monde. C’est vous qui choisissez, mais faites pas trop les malins, je vous aurais prévenu !

Vous avez vu sa tête ? Oui, il fait peur. Alors, en gros plan, c’est l’horreur.

Et là, pour qui il se prend ? Genre, il va invoquer le Dragon Ailé du Dieu Soleil Râ ? Il est courant qu’il s’agit d’une lampe ? Il connaît l’électricité ? J’ai comme un doute, là…

Oh, zut, je crois que je l’ai énervé.

Je… Yûgi, aide-moi !

AH… Il est derrière toi ! ATTENTION ! Non, je. Arf. Bon, Jôno, alors ? Peut-être ?

Hum, bon, c’est pas gagné cette affaire. Ah, revoilà Marik, avec une cape flottant au vent. Quelle diva ! Faut dire que cela met sa coiffure déstructurée en valeur…
Mais finalement, plus de peur que de mal. Je vois que la petite bande est réunie, Yami Marik a beau être le plus méchant des méchants, il reste agréable avec ses compagnons de PVC.
Et c’est sur cette image qui contient tant de cuteness que je vous laisse. On se revoit prochainement pour encore plus de figurines en plastique, youpi.