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Saiyuki Reload 10 – fin de série

Et voilà ! La Prophétie paninienne s’est enfin réalisé ! Comme prévu, les trois derniers tomes sont sortis à six mois d’intervalle chaque, et, pour une fois, sans aucun report de dernière minute. Si l’on peut féliciter l’éditeur de sandwich pour sa ponctualité, pas d’inquiétudes à avoir, il reste plein d’autres détails sur lesquels se plaindre. On ne devient pas un éditeur compétent et respectable du jour au lendemain…

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Amatsuki

Amatsuki est l’une des nombreuses nouveautés venues envahir nos étalages en ce début de printemps.

Prépublié au Japon depuis 2005 dans le Comic Zero-Sum des éditions Ichijinshâ, magazine shôjo mensuel qui voit passer dans ses pages d’autres titres comme Saiyuki Reload, Loveless ou Dolls. C’est donc en toute logique qu’Amatsuki a finit dans la collection Shonen Up ! de Kazé Manga, alors que Dolls est lui classé en seinen. Ne cherchons pas de logique, il n’y en a pas.

12 tomes (couverture ci-dessus), en cours au Japon à un rythme assez lent, les sorties françaises seront trimestrielles, ce qui va permettre de laisser une avancée japonaise pendant très longtemps. et donc éviter aux lecteurs français, impatients comme ce n’est pas possible en matière de manga, de ne pas attendre huit mois entre chaque tomes pendant vingt longues années.

Voici le résumé directement pris du site de Kazé (flemme d’en écrire un moi-même ^_^) :

Tokidoki est un lycéen plutôt nonchalant qui, pour combler ses lacunes en Histoire, est gentiment envoyé dans un musée. Mais ce musée est d’un genre nouveau : il propose une véritable immersion virtuelle dans le Japon de l’ère Edo au moyen d’un dispositif de lunettes révolutionnaire. Facétie du programme ou simple bug, le jeune homme se retrouve nez à nez avec un être étrange chevauchant un animal monstrueux tout droit sorti du bestiaire folklorique japonais. Tout tourne à l’horreur lorsque Tokidoki, blessé à l’œil gauche par la bête féroce, se retrouve prisonnier du Japon du XIXe siècle alors que ses lunettes gisent sur le sol, brisées…

Comme d’habitude, le travail graphique de Kazé sur la jaquette est splendide. Ce n’est que mon point de vue (comme dans 100% des articles de ce blog, en fait) mais j’adore la typographie du titre, son emplacement, l’ambiance que dégage la couv’, enfin, tout, en gros.

Au niveau de l’histoire, on est plongé dans un manga mêlant habilement quelques éléments de science-fiction (assez peu présent dans ce premier tome) à un univers mystique basé sur le Japon à l’époque Edo. Tokidoki se retrouve piégé dans un monde qu’il ne connaît pas et dont on ne sait rien. Voyage temporel ? Téléportation au sein du monde virtuel ? Mystère…

Les premiers chapitres se contentent de mettre en place quelques éléments et d’installer les personnages principaux et récurrents dans leurs rôles respectifs, pour qu’on situe bien qui est qui.

Car le nombre de personnages importants augmentent de page en page. Et si certains ne sont qu’entraperçu, les ombres qui planent autour d’eux les destinent à de plus grands rôles. C’est dans les 3 derniers chapitres de ce premier tome que l’intrigue décolle réellement. Un nouveau mystère s’ajoute par le biais d’une mystérieuse comptine aux allures de prophétie (élément clé de toute oeuvre de fantasy). Et la Princesse se dévoile, en même temps qu’un personnage très charismatique qui semble déjà détenir les clé des énigmes posées…

Et là, fin du tome. Au moment où tout devient captivant. Quelle frustration !
Maintenant, il me faut attendre juin pour acquérir le tome 2 !