Bon, au départ, je n’avais pas du tout l’intention de faire un article pour chaque tome, et je ne sais pas si je vais continuer par la suite. Ça dépendra de mon temps libre, principalement… Le prochain tome sortant en Septembre, autrement dit, lorsque je ne serais pas encore habitué à mon futur emploi du temps de m…. Mais pour l’instant, j’en suis pas là, donc passons sans plus tarder à mon avis sur ce tome 2.

Voilà, voilà, la couv’ est jolie, avec Kon en bogoss poseur ! Comme cela devient habituel, belle édition de Kazé (joli logo, page couleur…), juste un truc qui me turlupine… Quand Sasaki s’excuse et dis « toutes mes confuses ». A moins que ce ne soit une référence volontaire au film Le Père Noël est un ordure. Mais ça m’étonnerait. =_= J’imagine plutôt une incorrection volontaire qui est passé dans le langage courant et est devenue courante, involontairement (genre « à l’insu de son plein gré », trop répandu). Et ce n’est pas la première fois que je vois ça… =/
Concernant l’histoire en elle-même, ce tome continue de mélanger sans transition présent et passé (ou monde virtuel, cela dépend des théories), soulevant des mystère d’une époque à une autre. Le lien entre les deux est encore flou…
Retour avec nos héros. Après la révélation du tome précédent sur la Princesse, on a droit à plus d’action, et à un focus important sur Kuchiha et sur sa condition de possédée. L’occasion aussi de nous présenter l’Inugami en question, et quelle prestance ! Quelle violence, aussi, mais j’en attendais pas moins d’un démon aussi réputé. ^_^
S’ensuit de nouvelles révélations, preuve que le récit avance vite et ne s’enlise pas dans des considérations inutiles. La rivalité entre la Princesse et Bonten se fait plus palpable, et notre pauvre Tokidoki ne sait évidemment pas encore de quel côté verser… Chaque camp semble avoir ses bonnes raisons, et aucun ne semble véritablement mauvais, loin du manichéisme auquel on aurait pu s’attendre dès lors que deux groupes s’affrontent.

Pendant ce temps, il se passe des choses du côté de Heihachi (pas celui de Tekken). Personnage semblant sans grande importance au début, voilà qu’il a le droit à une promotion ! Mais pour savoir ce que l’auteur a e réserve pour lui, il faudra attendre le prochain tome (quel suspens !)…
On a aussi droit à une nouvelle confrontation Tokidoki/Bonten, mais cette fois, les choses sont claires, moins de blabla énigmatique. Cependant, on sent qu’une certaine rivalité nait entre les deux-là. Tokidoki n’a pas encore fait son choix, mais il en prend la direction. Alors va-t-il rester un électron libre, le cul entre deux chaises, ou va-t-il opter pour la Princesse, définitivement ? Mystère…
Une courte page nous plonge également à nouveau dans le mystère. On revoit en effet le mystérieux gosse malade… Et sa relation avec Bonten n’a pas l’air tendre… Brrr…
Puis on revient à la réalité (ou au présent, c’est selon), pour une dizaine de pages, histoire de finir le tome sur de nouvelles pistes…
En bref, un très bon tome, permettant de solidifier les bases apposées dans le premier volume. Quelques réponses sont données (notamment sur la Princesse – dont l’androgynie devrait plaire à Meloku XD, mais aussi un truc sur Kon, qui m’avait bien fait tiquer au premier tome, mais qui trouve son explication ici), mais de nouvelles questions apparaissent. Rien n’est joué, on continue d’avancer dans le brouillard, et de plus en plus de récits sont contés en parallèle… Deux dans le passé virtuel, un dans le présent réel, faut suivre (surtout que l’auteur ne fait aucune transition). Mais ce ne sont que des détails, par rapport à la grand qualité du reste.
Et je suis totalement fan du dessin et du design des persos. Hum, et comme il faudrait quand même que j’en dise un peu de mal, je dirais que les (rares) scènes d’action sont parfois un peu trop confuses…
Plus qu’à attendre la rentrée, maintenant… Snif.