Dorohedoro Head Mascot Collection 2

Je continue mon habitude d’acheter les goodies de Dorohedoro deux ans après leur sortie. Cette fois-ci, ce sont encore les straps des têtes décapitées de sept des personnages principaux. C’est tellement cool et dans le thème de la série. Eh ouais, Q-Hayashida adore décapiter ses personnages (et les faire souffrir de manière plus générale).dorohedoroheadmascot Lire la suite Dorohedoro Head Mascot Collection 2

Yu-Gi-Oh version Vulcanlog

D’habitude, les figurines articulées, ce n’est pas trop mon truc. Parce que les articulations sont souvent trop visibles et déforment le personnage représenté, et qu’en plus, cela fait plus jouet qu’objet de collection. Et j’ai largement passé l’âge d’acheter des jouets (à la place, je prends des peluches Neko Atsume).

Sauf que, pour marquer l’arrivée du film anniversaire de Yu-Gi-Oh : The Darkside of Dimensions, plein de goodies sont prévus. Et alors que Kotobukiya préfère les magiciennes, c’est le fabricant Union Creative (dans la gamme Vulcanlog) qui s’attaque aux version articulées des personnages principaux (sauf le méchant du film). Ainsi, sont prévus : Lire la suite Yu-Gi-Oh version Vulcanlog

Nowaydays ☆ Egyptian Gods

C’est par l’intermédiaire de Twitter (et de Meloku, surtout), que j’ai appris l’existence d’un manga avec pour héros des dieux égyptiens, et mon amour pour ce thème est plus que connu. Au début, je croyais déjà connaître, mais il s’est rapidement avéré que je confondais avec le jeu Eji Koi, un « otome game » dans lequel une jeune lycéenne sort avec des dieux égyptiens (#JAPON). Dans le manga, les dieux sont transposés dans notre époque, et pas de lycéenne pour les dragouiller. Un peu comme Jésus & Bouddha, mais avec Anubis, Bastet, Khnum et bien d’autres. Du coup, ce serait cool que ce manga nous parvienne, dans la collection WTF d’Akata par exemple.

Couv' du tome 1, avec Anubis-sama.
Couv’ du tome 1, avec Anubis-sama.

Le titre de ce manga plus qu’atypique ? Imadoki ☆ Egyptian Shin ou イマドキ☆エジプト神… En français, ça donnerait un truc du genre « Les dieux égyptiens ☆ de nos jours ». C’est une trad’ mot à mot pourrie, évidemment, je compte sur le futur éditeur français pour trouver un titre qui sonne bien. En anglais, ça donnerait : Nowadays ☆ Egyptian Gods. Lire la suite Nowaydays ☆ Egyptian Gods

L’ère des Cartox

Après les Cartox chats de Sentinel et les mini Cartox fruités de Kotobukiya, je me demandais ce que nos amis les Japonais allaient bien pouvoir inventer. Un cartox panda roux ? Un Cartox de l’espace à trois têtes ? Un Cartox Cthulhu ? Eh bien non, cette fois-ci, au risque de décevoir les attentes du public, rien de folichon au premier abord.

nyanboard2
1ère rangée : Tabby (bicolor), Tabby (gray), Bicolor (orange), Calico (camel) ; 2ième rangée : Bicolor (black), Normal, Bicolor (cow) ; 3ième rangée : Siamese, Tabby (pointed), Persian (gray).

Ainsi, dans un lointain avenir, en mai, les Cartox ont disparu. Ne reste qu’une nouvelle forme d’être plastique, les Nyanboard. Ils sont dix, quelques peu différents des précédents, mais toujours aussi mignons choupis KAWAII. Lire la suite L’ère des Cartox

Blood Blockade Battlefront

Enfin ! Près d’un an après le début de l’adaptation animée, voilà que Blood Blockade Battlefront (Kekkai Sensen en vo) débarque chez Kazé Manga, à grand renfort de rien du tout vu que la comm’ de l’éditeur se limite à quelques tweets. Certains sites ont même relayé la news la semaine dernière alors que l’annonce avait été officialisée au début du joli mois de Mars. Du travail de pro. 🙂bbb kazem

Bref. Terminé en 10 tomes au Japon, ce shônen de Yasuhiro Nightow devrait se poursuivre à un rythme bimestriel durant toute sa parution (au moins jusqu’au tome 4, prévu en Octobre). Ouf. Espérons que les ventes suivent, surtout avec Pierre Valls comme directeur éditorial (pas besoin de vous rappeler ses faits d’arme chez Pika puis chez Delcourt, si ?). A noter qu’au Japon, ce que ne précise pas les sites de news, toujours aussi pro 🙂 c’est que le mangaka a commencé un spin-off (ou saison 2, je ne sais pas, je ne lis pas les scans), avec pour sous-titre Back 2 Back, ce qui rajoute encore à la longueur du titre. On l’abrégera B5 pour plus de simplicité.

Allez, sans transition, le résumé éditeur :

Il y a trois ans, un portail dimensionnel s’est ouvert sur New-York. Désormais rebaptisée « Hellsalem’s lot », la ville a vu apparaître phénomènes surnaturels et créatures cauchemardesques. Dans cet univers chaotique, la société secrète « Libra » recrute des individus aux aptitudes particulières afin de maintenir un semblant de paix. Suite à un incroyable quiproquo, Leonardo Watch, un jeune photographe aussi peureux que maladroit, se retrouve membre de cette étrange organisation. Pris dans une spirale de catastrophes en chaîne, combien de temps survivra-t-il dans cette cité démoniaque ?

Ce premier tome nous propose quatre chapitres, dont un bonus, nous introduisant avec efficacité l’univers de la série. L’ambiance atypique de la ville démoniaque et ses habitants monstrueux est très bien rendue, Hellsalem’s Lot vit en dehors de ses persos principaux, c’est fun et ça regorge de détails amusants et de références (monstres à l’allure Lovecraftienne ou plus typé comics).

Les personnages sont tous classes, notamment Klaus V. Reinherz dont j’adore le chara-design. Le pauvre Leonardo semble un intrus dans la bande de super-héros (ils ne sont pas désignés ainsi mais l’influence des comics sur Yasuhiro Nightow est bien visible) qu’est Libra : peureux et faiblard, il pourrait être le damoiseau en détresse. Mais on découvre qu’il peut y trouver sa place, s’il y met du sien. Malheureusement pour lui, ce ne sera pas sans contrepartie, puisque ce pouvoir exceptionnel attire les convoitises…

Les autres personnages secondaires ne sont pas en reste, que ce soit Zapp, le mec qui peut enflammer son sang (?), ou Chain, la meuf lycanthrope mais qui ne se transforme pas en louve (?). L’ennemi principal de ce tome (et peut-être du manga ?), le roi de la déchéance Femt, a l’air d’être un brin tordu. On n’en sait encore assez peu sur lui, sur ses motivations réelles (à part foutre le bordel en ville). On en sait assez peu aussi sur les membres de Libra. D’ailleurs, globalement, on en sait encore très peu sur Hellsalem’s Lot et tout ce qui entoure son origine. Yasuhiro Nightow a évidemment choisi de privilégier l’action pour ce tome, mettant en avant sa galerie de personnages et leurs différents pouvoirs. On peut espérer que la suite reviendra un peu sur tout ces mystères encore plongés dans le brouillard…

Un peu de fan-serv' ! :)
Un peu de fan-serv’ ! 🙂

Pour le moment, on retrouve en version papier des histoires déjà vues dans l’adaptation animée. Seule l’absence des jumeaux, fil rouge de la première saison, change la donne. Résultat, je ne suis pour le moment pas surpris par le dénouement des intrigues. Cela dit, je ne ne souvenais plus de cette histoire de camion fantôme. Alors peut-être qu’il y a des chapitres qu’on ne retrouve pas dans l’anime. Ou alors j’en ai déjà oublié une partie (c’est possible, ça remonte à loin, un an).

Concernant l’édition, pas grand chose à noter. La traduction est fluide et colle bien aux personnages, il n’y a pas d’erreur de lettrage, de bulles inversées ou de pages inversées. On pourra regretter le prix élevé (plus de 8€) qui serait justifié par le format plus grand que leurs titres « Shônen UP » habituels… Enfin, groooos bémol à mon goût : le logo carrément moche, repris tel quel de l’anime, lui-même repris du manga version US (par Dark Horse).