Meilleurs vœux avec Cartox !

Une fois n’est pas coutume, c’est via Twitter que j’ai découvert l’existence d’une nouvelle déclinaison de la mascotte de Yostuba &!, le vaillant robot-carton Cartox (Danboard en vo). Mais pour une fois, ce ne fut pas grâce à @animint, mais à cause d’un retweet de @Ramza_Paoru. Oui, je dénonce.

L’année commence donc avec ces goodies, à défaut d’avoir le tome 13 en main. Les Omamori Danboard viennent tous ensemble dans une boîte de 8. Puisqu’il y a 5 modèles différents, cela fait trois doubles. Pourtant, sur la boîte, il est précisé en anglais « 1 include 1 in random style » (alors qu’on voit un 5+3 bien plus cohérent dans la phrase en japonais).

Sur le devant de ces Cartox, on retrouve les kanjis 御守 signifiant Omamori (amulette). D’où leur nom. Ces talismans sont une tradition visant à se porter chance et bonheur pour les douze mois à venir. On voit souvent ça dans les mangas, la visite au temple pour y déposer des amulettes. Et là, on a donc la même chose, version Cartox. Et un Cartox porte-clé, que vous pouvez donc accrocher tout partout.

Ces Cartox du Nouvel An, hauts de 4,5 cm, expriment différents vœux. Santé, Travail, Amour…  Ils ont par ailleurs des couleurs moins vives que les Flavor Danboard de l’année dernière, ce qui fait de jolis contrastes. Voici le code-couleur. Violet : Health (命, « vie »), qui est supposé préserver la santé et éloigner les maladies. Rouge : Love (愛), pour attirer l’amour. Bleu : Study (学), pour réussir ses études. Vert : Traffic (車, « véhicule »), pour protéger des accidents de la route (accrochez-le à vos clés de voiture ! ). Et enfin, Doré : Money (金, « or »), pour apporter l’argent, ce dernier a un aspect métallisé très sympa. A noter qu’il existe un dernier Cartox, blanc, une version exclusive à la boutique Kotobukiya japonaise. Il a le kanji 壽 qui est plus trop utilisé sous cette forme complexe à notre époque si j’en crois les quelques sites que j’ai trouvé.

Cette dernière photo montre bien l’armada de Cartox que j’assemble au fil des années. Et ce n’est que le commencement…