Ceci n’est pas une pub.

Aujourd’hui, je ne vais pas parler de manga ni de donyatsu, mais pas d’inquiétude à avoir, je ne suis pas malade pour autant. Du moins, pas plus que d’habitude. Et donc, comme l’indique le titre, cet article n’est pas une publicité, ce n’est pas mon genre.

Donc, entrons dans le vif du sujet. Tout commence un jour, en ce beau mois de février 2012, les oiseaux chantonnaient et Pouhiou, Toulousain de son état, a décidé d’écrire un feuilleton sur un blog, publiant ainsi jour après jour les pages d’un roman, début d’une longue saga. Allez, je donne le nom de cette saga, quand même : les NoéNautes. Et non pas les Néonautes comme je l’ai cru pendant, euh, très longtemps. Genre, jusqu’à ce que j’écrive cet article.

Ce qui remet tout en question d’ailleurs. Et remettre tout en perspective, c’est un peu la spécialité de Pouhiou, avec des fins d’épisodes souvent hallucinantes qui ne peuvent que donner hâte de lire la suite, en se disant que tout ce qu’on a lu jusque-là doit être relu sous un nouveau regard au vu des nouvelles révélations. Et ça arrive souvent, et malgré les #indices disséminés je ne vois rien venir (et j’aime ça).

Mais ce qui force le respect, c’est aussi la régularité de parution, avec un chapitre tous les jours du lundi au jeudi à 17h28. Pourquoi 17h28 ? De mémoire, ça a un rapport étroit avec le chiffre 8, auquel tout est lié. Huit romans, composés de huit chapitres, eux-mêmes composés de huit épisodes. Pour l’instant, deux romans sont déjà sortis, en l’espace d’un an.

Personnellement, j’ai rattrapé l’écriture mi-décembre. Plus ou moins pendant mes partiels du premier semestre. A l’origine, je devais donc vous en parler pendant les vacances de Noël. Mais bon, j’aime bien finir mes articles des mois ou des années après les avoir commencé.

Bref. On est pas là pour parler de mes talents de procrastination. Je vous vois venir, avec votre manie de dévier les sujets de discussions, là, comme ça, hein.

Parce que, bon, j’ai déjà écrit tout un tas de paragraphes, mais on sait toujours pas de quoi ça parle, les NoéNautes. Enfin, si, moi, je le sais.

Mais le problème c’est que j’ai un peu peur de gâcher le plaisir de lecture en en disant trop dans le résumé. Et je vous conseillerais bien d’aller voir vous même le premier épisode. Mais comme je suis gentil et que vous êtes mignons (enfin, je crois), je me dévoue et vous fournis le minimum syndical (mais j’ai rien contre les syndicats, hein).

Parce que, en soit, ce n’est pas si difficile que ça à résumer puisque les NoéNautes narre les aventures d’Enguerrand qui… #Hem.  A des hémorroïdes (c’est #glamour) et est en cavale. Son boulot, c’était de concevoir des trucs pour pourrir la vie des gens, comme ces paquets à ouverture facile que l’ouverture ben elle s’ouvre pas et que ça t’énerve, bordel où est le ciseau ? Et un jour, peut-être une nuit, il va développer la capacité d’intervenir dans le monde des idées, plus savamment appelée noétie. Malheureusement pour lui, il n’est pas le seul à posséder ce genre de pouvoir, et les autres veulent, genre, le tuer. #Cool.

Si c’est pas clair ou pour en savoir plus, lisez #Smartarded, le premier tome, qui contient des chatons mignons, du Babybel, des #hashtags , des remarques cyniques et des prénoms bizarres.

Le deuxième tome contient toujours des chatons (je vous rassure), mais change de point de vue, pour un résultat encore plus réussi. A mon goût. Là encore, le sens de la narration et du feuilleton de Pouhiou fonctionne à merveille. Donc j’ai hâte de lire la suite.

Mais ce qui est cool, dans cette aventure littéraire, c’est l’interactivité avec les lecteur. peu avant la fin du deuxième tome, #MonOrchide, un jeu-concours proposait à ces dernier d’écrire une phrase qui serait l’ouverture de chacun des huit épisodes composant le dernier chapitre. Comme je suis un #boulet, j’ai oublié d’y participer, voilà, comme ça, pouf, oublié.

Sinon, le roman est aussi libre de droits (une histoire de licence CC0-je-ne-sais-plus-quoi-bref-on-s-en-fout) et vous pouvez vous procurer la version ebook gratuite ou la version papier payante (parce que le papier, c’est cher).

Le défi des 1 an : rendre le livre I Gratuit

Pour fêter les un an (tiens, d’ailleurs, pourquoi « les », pluriel, alors qu’il n’y a qu’une année, au singulier, donc ? #égarement), Pouhiou a lancé une opération de dons, qui a dépassé la moitié espérée en une semaine et atteint les 100% à la moitié du temps imparti. Cela dit, il vous reste donc jusqu’au 21 mars pour soutenir le projet, aller plus haut et croire encore à l’avenir.

Mais qu’est-ce donc que ce projet ? Bonne question. J’attendais que tu me la poses, petit curieux. En fait, le but de cette récolte, c’est de pouvoir distribuer gratuitement le livre 1 (#Smartarded, pour ceux qui suivent) qui est actuellement payant, lors des conventions, séances de dédicaces et autres occasions de ce genre. Ainsi, la version #IRL deviendrait elle aussi gratuite.

Bref, ça me fait plein de raisons d’en parler, ce qui est chose faite. #Voilà.

http://fr.ulule.com/monorchide/

2 réflexions sur « Ceci n’est pas une pub. »

  1. En voilà un article qui a de la classe !
    Pour le compléter, une petite info : 17h28, c’est parce que 88 heures et 88 minutes font en somme 89h28, soient 3 jours et 17 heures et 28 minutes.
    Et quand j’écris ça à voix haute je me sens un tout petit maniaque.
    Un tout petit peu.

    BTW : #Merci.

    1. Merci ! :3
      Autant pour le compliment que pour l’info. Je savais qu’il y avait un lien avec le 8, mais quoi, impossible de remettre la main dessus. C’est donc chose faite.

      Et puis, de rien, c’est moi qui suis ravi de pouvoir lire les Noénautes (et donc te remercie) !

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