Ceci n’est pas une pub.

Aujourd’hui, je ne vais pas parler de manga ni de donyatsu, mais pas d’inquiétude à avoir, je ne suis pas malade pour autant. Du moins, pas plus que d’habitude. Et donc, comme l’indique le titre, cet article n’est pas une publicité, ce n’est pas mon genre.

Donc, entrons dans le vif du sujet. Tout commence un jour, en ce beau mois de février 2012, les oiseaux chantonnaient et Pouhiou, Toulousain de son état, a décidé d’écrire un feuilleton sur un blog, publiant ainsi jour après jour les pages d’un roman, début d’une longue saga. Allez, je donne le nom de cette saga, quand même : les NoéNautes. Et non pas les Néonautes comme je l’ai cru pendant, euh, très longtemps. Genre, jusqu’à ce que j’écrive cet article.

Ce qui remet tout en question d’ailleurs. Et remettre tout en perspective, c’est un peu la spécialité de Pouhiou, avec des fins d’épisodes souvent hallucinantes qui ne peuvent que donner hâte de lire la suite, en se disant que tout ce qu’on a lu jusque-là doit être relu sous un nouveau regard au vu des nouvelles révélations. Et ça arrive souvent, et malgré les #indices disséminés je ne vois rien venir (et j’aime ça).

Mais ce qui force le respect, c’est aussi la régularité de parution, avec un chapitre tous les jours du lundi au jeudi à 17h28. Pourquoi 17h28 ? De mémoire, ça a un rapport étroit avec le chiffre 8, auquel tout est lié. Huit romans, composés de huit chapitres, eux-mêmes composés de huit épisodes. Pour l’instant, deux romans sont déjà sortis, en l’espace d’un an.

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