Pour cette avant-dernière partie, je vais parler des fins de séries. 2012 fut plutôt radine de ce côté-là, vu qu’il y en a que deux. Le reste ce sont des intégrales, avec donc des débuts, des milieux et des fins.
Une fin dans la logique des évènements précédents pour Shi Ki, le titre d’horreur de Ryu Fujisaki et Fuyumi Ono. Peut-être un peu décevante sur certains points, mais respectant néanmoins les clauses du contrat.
J’avais mis la série en pause face à l’enlisement de l’histoire, et, finalement, lire les derniers tomes d’Ikigami en un seul et même bloc fut une bonne idée. Si Motoro Mase garde la même logique de deux récits de trois chapitres par tomes, il n’oublie pas de faire évoluer son histoire et son héros, pour un final mouvementé et bien plus intéressant que le reste. Enfin ! Ce fut long, on y croyait plus, mais cela en valait la peine !
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On passe donc aux intégrales, parfois acheté d’un bloc, parfois non. La vie est faite de hasards…
J’ai acheté les trois volumineux volumes de Genkaku Picasso peu après la sortie du dernier tome. Et même si Furuya a été publié par Shueisha dans un magazine plutôt formaté, on retrouve là ses thèmes fétiches, peut-être de manière plus abordables et plus « tout public ». Un bon titre, malgré une fin plutôt mièvre.
J’ai pris Solanin d’un seul coup, deux tomes, ça ne nuit pas trop à un porte-monnaie. Cette fois-ci, Inio Asano nous narre le quotidien d’adultes à peine sorti de l’université, à l’entrée dans la vie active, sans qu’aucun d’entre eux n’eussent les traits d’un oiseau étrange.
Et pourtant, le talent narratif d’Asano nous permet de passer outre ce manque de piaf et de vivre ses vies qui se cherchent encore.
Pour ce titre, vous n’avez aucune excuse. J’en ai parlé il y a peu, de My Girl, dans un article spécial, je l’ai vite fait mentionné dans une précédente partie de ce même bilan, alors, non, vous ne pouvez plus ne pas connaître ce manga si vous êtes un lecteur assidu de ce blog (ce dont je n’oserai pas douter).
Ce seinen fut excellent de bout en bout.
Acheté d’un seul coup, le même jour, mais sur divers sites. Dont un canadien, pour trouver mon tome 8. Et oui, il en reste dans le pays du sirop d’érable (miam). Je ne sais pas si cela fut intelligent de tous les prendre avant mes exams, mais vu que je les ai reçu après, cela ne pas trop détourné des révisions. Sauf quand je vérifiais le suivi des colis. Parce que j’aime bien suivre mes colis.
Bref, si vous voulez un avis plus intelligent, j’avais fait un article il y a quelques mois…
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Promis, la prochaine fois, ce sera aussi la dernière partie…
Ca démarre mal avec les deux premiers, mais le reste c’est juste génial \o/
Tu l’as commandé où Ki-itchi 8 ? Je le veux 😥
J’aime bien quand ça finit bien, après des débuts difficiles. 🙂
Je l’ai eu sur abebooks, à un prix supérieur à celui de l’éditeur et avec des frais de port défiant toute concurrence :
http://www.abebooks.fr/9782756008929/KI-ITCHI-T.8-ARAI-HIDEKI-2756008923/plp
Ah ouais, faut le vouloir vu le prix é__è
Ben, t’as dis que tu le voulais beaucoup beaucoup, aussi… >_<"
Ouais ben 30 euros le manga quand même, ça fait chérot. J’espère que du sirop d’érable est livré avec. Ou un caribou. Ou Céline Dion.
Non, pas Céline Dion en fait.
Nan, mais y a du papier-bulle. 🙂
Ca tombe bien, j’adore le papier-bulle. C’est pratique et ludique à la fois. Et par ludique j’entends non seulement que c’est amusant, mais également que c’est déstressant et que ça fait chier les autres.
Le type qui a inventé le papier-bulle est un génie.
Alors n’attends plus, du beau papier-bulle canadien n’attend plus que toi ! 😀