Shirokuma Café

Shirokuma Café est un manga de Higa Aroha, débuté en 2008 et dépassant « déjà » les 4 tomes. La série s’est faite connaître il y a peu grâce à son adaptation animée. Adaptation qui a d’ailleurs causé quelques soucis à la créatrice du manga, vu que celle-ci n’avait au final aucun droit de regard, et ça, c’est bien problématique. Depuis, ça s’est arrangé.

Ce shôjo narre le quotidien inhabituel d’un café tenu par un ours blanc, et dont la clientèle varie entre le panda roux, le pingouin ou le lama.

Voilà, c’était un résumé bref, mais quelle intensité !

Au-delà des couvertures toutes mignonnes, on ne peut pas trop savoir ce que donne le manga en lui-même, du fait de l’absence regrettable de scan. Ce n’est pas super important parce que, bon, les scans, c’est le Mal Absolu, et tout, et tout, mais n’empêche, ça ne m’aurait pas déplu de pouvoir au moins lire le premier chapitre. Et le deuxième. Et plus si affinités.

De fait, il ne reste plus qu’à se plonger amoureusement dans l’anime, qui dépasse déjà la trentaine d’épisode en ayant commencé en avril dernier. Chaque épisode comporte deux parties d’une douzaine de minutes chacune, pas forcément sans rapport l’une à l’autre (mais un peu quand même).

Le premier épisode nous montre donc Panda, le joyeux panda, un peu feignasse, qui cherche du boulot sur ordre de sa mère. Mais, à part manger du bambou, le pauvre ne sait pas faire grand chose… Par la force des choses, que ce soit le hasard ou la destinée, Panda obtiendra un entretien d’embauche ! Courage petit Panda, la concurrence sera rude !

Mais dans le quotidien de Panda, il y aura autre chose que la recherche infructueuse d’un boulot mal payé. Il y aura aussi, entre autre, une visite au zoo, des leçons de conduite ou encore un voyage à la mer !

L’anime nous présente donc ce petit monde où les animaux peuvent travailler et vivre à égalité avec des humains. C’est mimi. Et un peu What The Fuck, donc drôle et amusant, avouons-le, mais l’important, c’est que c’est mimi. Point barre.

Bref, je vous conseille à tous, un dessin animé plein de tendresse et de câlins, sans violence, gerbe de sang ou scène de cul. Un bon bol d’air frais, mais avec un panda.

J’aime les pandas.