Oyasumi Punpun, traduit « Goodnight Punpun » en anglais. Et qui aurait dû “ s’appeler « Fais de beaux rêves et passe une douce et heureuse nuit mon petit Punpun adoré » au lieu d[‘un simple] « Bonne nuit Punpun ». ” avant que Kana ne change d’avis et opte pour un titre un poil plus court. (source)
Pour préserver la sensibilité de mon lectorat, cet article sera entièrement vierge de spoils. Mis à part, peut-être, quelques spoils mineurs, ne gâchant pas le plaisir de découverte d’Oyasumi Punpun. Ainsi, le choix des images se veut totalement aléatoire et décalé (à l’image du manga, en fait).
J’ai donc illégalement lu un tome entier. Enfin presque. En tous cas, le reste, j’attends une édition française pour le découvrir, livre en main. Et comme Kana a le monopole de l’auteur en France, il faudra juste attendre Février prochain avant de voir débarquer ici-bas cette oeuvre hors du commun (ce qui me force à actualiser cette phrase écrite il y a quasiment 6 mois, ouais j’suis parfois très lent dans l’écriture d’un article).
Au Japon, il y a « déjà » huit tomes, édités par Shôgakukan depuis fin 2007 (un rythme plutôt lent, donc), le neuvième sortant en fin de mois.
Bon, alors, de quoi ça parle ? Hum. Bonne question. Ce n’est pas si difficile à dire, mais, le problème, c’est qu’il n’y a pas vraiment d’histoire à proprement parler. En fait, Oyasumi Punpun suit la vie quotidienne de Punpun, à l’école, à la maison, avec ses amis… Et j’en passe. Bref, rien de vraiment transcendant, dis comme ça. Et pourtant !
Déjà, détail qui tue, Punpun, notre gentil héros, n’est pas représenté sous des traits humains, contrairement aux autres, mais a la forme d’un piaf. A peu près. Une sorte d’oiseau. Peut-être. Enfin, bref, ça ressemble un peu à un oiseau, non ?
Mais passons, Kana m’évite quelques peines en fournissant un résumé super cool.
"L’histoire commence alors que Punpun est en cinquième primaire (CM1). Sa vie et celle de ses parents basculent un beau matin, lorsque son père blesse sa mère suite à une dispute particulièrement violente. C’est l’histoire d’une vie comme toutes les autres, truffée de pièges, d’obstacles, de tourments, de doutes, d’introspections utiles et stériles et de ses petits bonheurs qu’il ne faut pas perdre de vue."
Comme vous, je trouve que ce résumé fait vachement sérieux. Alors que le manga ne l’est pas tant que ça. De mon points de vue, il y a plus de « petits bonheurs » dans Bonne nuit les petits Punpun que « d’obstacles, de tourments [ou] de doutes ». Dans tous les cas, rendez-vous en février pour la meilleure nouveauté de l’année 2012.
C’est une sacrée bonne surprise, et je l’attendais pas si tôt. Avec Punpun, nous les Français, on aura un beau panorama de ce que peut faire Asano. Solanin pour la romance, Un Monde Formidable et La Fin du Monde pour les histoires courtes, Nijigahara Holograph pour le thriller. Punupun se distinguera du fait que c’est une série plus longue, et ça sera intéressant de voir comment il s’y prendra pour tenir en haleine le lecteur.
(J’ai oublié quelque chose non ? =b)
C’est vrai que Punpun est sa seule série bien longue à nous parvenir. Et toujours en cours, en plus. J’ai rien lu de lui, mais j’espère qu’il sait aussi gérer un récit sur la longueur…
(P’têt. J’en sais rien. XD )
Tu m’as doublé ToT
Je suis triste dans ma joie, en plus Raimaru mérite le bûcher.
Naaaan, pleure pas, je suis là ! XD
Mais pourquoi on doit le brûler, notre Raichounet ?
Pour ce qu’il a oublié :p
C’pas un peu cher payé ? >.<
Oh non ! è_é
En fait, je savais dans quel genre le mettre, le quartier de la lumière, du coup je l’ai pas cité xD